Le 10 octobre à 6 heures, après une nuit blanche atterrissage en douceur a Antananarivo. Frère Gilbert nous accueille et nous fait découvrir son centre. Tana est très grande et pourtant n’en a pas l’allure, ce sont en fait 7 collines séparées par des vallées de rizières, et il y a très peu d’immeubles. Les villes sont très poussiéreuses et la vie grouille de partout. Il nous conduit au taxi-brousse direction la ville d’Antsirabe à 150km, pour 4 heures de voyage. C’est un genre de vieux camion J7, où s’entassent 23 personnes. Avec les bagages sur le toit, il y a des paniers de poules, canards, et même des cochons! Le départ ne se fera que quand le bus sera plein, dans une heure, deux heures, trois heures, on verra on n’est pas presses… on attend... Autour de nous grouille une multitude de petits vendeurs, de tout et n’importe quoi, des balayettes de WC, des lunettes de soleil.
1ere rencontre : Albine
Albine s’est consacrée à poursuivre le travail de son défunt mari ophtalmologiste, en soignant les enfants des orphelinats et en construisant un hôpital consacré aux malvoyants. Nous lui avons remis les lunettes que vous nous aviez confiées.
2eme rencontre : Albine nous présente Henriette, une femme extraordinairement dévouée !
Henriette, 56 ans, est veuve. Ses 9 enfants ont grandit et ont quittés la maison. Elle a recueilli 25 enfants orphelins de 5 à 11 ans. Elle loue une partie de sa propre maison pour acheter le riz et payer le salaire de 6 instituteurs, car elle finance aussi la scolarité d’une centaine d’enfants du quartier.
Henriette, 56 ans, est veuve. Ses 9 enfants ont grandit et ont quittés la maison. Elle a recueilli 25 enfants orphelins de 5 à 11 ans. Elle loue une partie de sa propre maison pour acheter le riz et payer le salaire de 6 instituteurs, car elle finance aussi la scolarité d’une centaine d’enfants du quartier.
Le chemin qui fait office de route pour arriver chez Henriette. |
Portique d’entrée et nom de l’école : “les œuvres de la nature”, choisit par Henriette.
Perline heureuse devant son nouvel étalage.
Antoine à gauche de son nouveau pousse-pousse. |
Des heures de coups de marteau pour faire de ces blocks des petits cailloux. Pour gagner son bol de riz … |
Ci-dessous aperçu de l’immensité de la carrière. |
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